The big Teotihuacan & Fantastic Mexico City Publié le 28 février 2020 par Alain et Stéphanie
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The big Teotihuacan & Fantastic Mexico City Publié le 28 février 2020 par Alain et Stéphanie
par Admin Ven 20 Mar - 15:49
[size=42]The big Teotihuacan & Fantastic Mexico City[/size]
Publié le 28 février 2020 par Alain et Stéphanie
Wow, mais pourquoi ils ont fait des marches aussi hautes, perso, vu la taille moyenne d’un Mexicain, j’suis pô sur qu’il n’y ait pas une histoire d’extra terrestre là-dessous, faudra que j’en cause à Mulder !
Mais une fois en haut, lorsque que tes quadriceps ont fini de te brûler et que le souffle est revenu (2300 mètres le quartier), le spectacle est vraiment sympa, tu réalises la taille de ce lieu sacré.
Tu peux contempler la chaussée des morts (sympa !), qui fait 40 à 95 mètres de large mais 2 p…. de kilomètres de long, tu peux observer les nombreuses plateformes de rituels, offrandes et autres sacrifices, car à l’époque les sacrifices humains étaient pratiqués.
Chouette visite sous un soleil qui me fait comprendre pourquoi la « Corona » a été inventée … nous sommes retournés à notre base au frais avec un grand plaisir.
Nous avons d’ailleurs retrouvé nos amis Flamands à la base, nous avons beaucoup de points commun avec nos amis belges en général, mais le plus important est « l’apéro » !
Mexicoooooooo, Mexiiiiiiiiicooooo !!!!!!
Nous ne pouvions pas rater ça, nous sommes à 40 kilomètres de cette ville fantastique.
Nous laissons le Faucon à sa base secrète et prenons les bus, afin de rejoindre cette ville, environ 9 millions de personnes vivent dans le centre et 26 millions avec la périphérie !
Mexico City figure parmi les plus grandes métropoles au monde
Nous restons 2 jours dans un hôtel du quartier historique.
Le drapeau, avec l’aigle pour l’intelligence, le serpent pour la mauvaise influence et le cactus pour la population. L’intelligence tue la mauvaise influence pour protéger les Mexicains. (n’oublie pas l’interrogation écrite à la fin !)
Comment expliquer cette expérience avec des mots et quelques photos ou vidéos…
Il n’y a pas que les vieux bâtiments à voir ici, il y a une ambiance, il y a une âme, une culture, une identité forte…
Alors le centre historique est vraiment très grand, il suffit juste de marcher, de marcher, et de marcher encore, te perdre dans des dédales de rues ou autres impasses.
Alors on enchaîne le « Templo Mayor » le site archéologique relatif à la civilisation Aztèque, la « Cathedrala Metropolitana », bâtisse incroyable qui a nécessité presque 3 siècles de travaux, la taille de ce bâtiment est impressionante, c’est la plus large et la plus vieille cathédrale d’Amérique Latine.
Le « Templo San Francisco », le « Palacio de Bellas Artes » édifice absolument magnifique mais malheureusement fermé lors de notre passage.
Casa de los Azulejos, Plaza de San Domingo, Calle Emiliano Zapata et Calle de la Santisima, et sans oublier l’Avenido Francisco I Madero, le champs Elysée de Mexico City.
Mexico City et ses orgues de barbarie, ici tu croises de nombreux joueurs d’orgues de barbarie, cette musique est omniprésente, entêtante, parfois agaçante mais aussi enivrante, elle fait partie du folklore local.
Une légende raconte…..
Au début du siècle, des musiciens allemands étaient venus au Mexique pour jouer de l’orgue.
Les musiciens locaux inspirés par cette musique se sont amusés à transporter de petits orgues de barbarie afin de jouer dans la rue…
Peu à peu, avec l’apparition des voitures, les auditeurs se sont désintéressés de cette musique et les organistes se sont transformés en Mariachis…
Seul un musicien tout habillé de blanc continuait à jouer pour le plaisir des passants, ce musicien était aveugle et connaissait les rues de Mexico City par cœur.
Un jour, le volcan surplombant la ville de Mexico s’est réveillé, malgré ses terribles grondements il n’a craché que de la fumée.
Malheureusement cette fumée s’est engouffrée dans la ville, plus personne ne retrouvait son chemin, tout le monde se mettait à l’abri en espérant que cette terrible fumée se dissipe….
Au bout de quelques heures les gens ont entendu une musique qu’ils connaissaient, c’était le joueur d’orgues…
Très vite, tous ceux qui entendaient la musique suivaient le musicien aveugle, et comme ce dernier connaissait parfaitement la ville, il a pu diriger les gens vers les hauteurs où la fumée ne venait pas.
C’est comme cela qu’un musicien tout habillé de blanc a pu sauver des centaines de personnes de l’asphyxie.
Mais comme il avait marché dans la fumée, son beau costume blanc était devenu gris !
Et c’est depuis ce jour que les joueurs d’orgues de barbarie portent tous un costume gris afin de rendre hommage au musicien aveugle.
Et c’est depuis que les touristes les écoutent et que les joueurs d’orgues de barbarie se multiplient !
C’est fini, tu peux ranger tes Kleenex, on continue la visite !
Comment t’expliquer le brouhaha permanent ici, entre les orgues de barbarie, les véhicules, les klaxons, les vendeurs à la criée, les spectacles de rue en musique, les tiendas avec leurs rabatteurs, les enceintes qui crachent des décibels sur fond de Mariachis , wow, mais wow quoi, c’est certainement le lieu le plus bruyant que je n’ai jamais visité.
Les patrouilles de police lourdement armées sont légion dans le quartier où nous traînons, mais par pour trop longtemps, nous préférons rejoindre le quartier historique, plus peuplé, et certainement plus sécurisant pour une famille même si nous n’avons pas été importunés, ton sixième sens de voyageur est toujours là pour te guider.
Nous ne pouvions pas quitter Mexico City sans aller voir un combat de « Lucha Libre », à l’Arena Mexico…., the « Cathedral of Lucha Libre », connue pour être la plus grande salle de spectacle de ce sport, ce temple du combat tient debout depuis 1956 et peut accueillir plus de 17500 spectateurs.
Désolé pour la qualité des photos mais c’est juste pour que vous ayez une petite idée du spectacle :
INTERROGATION SURPRISE !
1/ Quelle est la hauteur moyenne d’une marche de la pyramide del Sol à Téotihuacan ?
2/ Cite-moi une prise de lucha libre.
3/ Cite-moi 2 tribus précolombiennes du Mexique.
4/ Pourquoi la tenue des joueurs d’orgues de Mexico est-elle grise ?
5/ Quels sont les trois éléments du drapeau mexicain ?
Tu as 10 minutes !
Publié le 28 février 2020 par Alain et Stéphanie
Le Faucon a mis le cap sur les pyramides de Teotihuacán, nous avons rapidement repéré le quartier… vu du ciel depuis la cabine du Faucon Millenium !
On a juste failli se bouffer 2 ou 3 montgolfières en arrivant juste avant de se poser….Pppfffff va expliquer à ton assureur un accident avec une montgolfière !
On atterrit donc dans une base secrète de l’alliance et partons de bon matin afin d’éviter la foule pour de visiter ce site grandiose.
Teotihuacán et sa cité préhispanique, c’est certainement le plus gros tas de cailloux que j’ai vu de ma vie !
Franch’ment c’est big, ce site abrite certaines des plus grandes pyramides méso-américaines jamais construites en Amérique précolombienne.
La ville a été construite il y a quelques années ( environ 2150 ans avant Chuck Norris !), et à son apogée, à la première moitié du 1er millénaire il y avait plus de 200 000 personnes qui vivaient ici, ce qui faisait de cette ville la plus grande du monde (NDLR : après Toulon évidement!)
De toute façon apparemment les chercheurs ne sont toujours pas d’accord sur beaucoup de chose concernant cette cité, certains annoncent mêmes qu’il y avait des quartiers distincts pour les Otomi, les Zapotèques (à tes souhaits), les Mixtèques, les Mayas, et des peuples Nahuas ce qui en aurait fait un état multiethnique.
Bref entre les Totonaques qui revendiquent la construction, et les Aztèques qui ont colporté des histoires…. c’est quand même compliqué, mais j’espère que t’as suivi cause qu’il y a interrogation écrite à la fin !
Lorsque les Aztèques ont découvert cette cité ils ont pensé que seuls les dieux avaient pu construire un lieu aussi colossal, et ils l’appelèrent Teotihuacan « Lieu où les dieux sont nés ».
La plupart des dieux étaient vénérés ici, et même le célèbre Serpent à plume, (j’en vois au fond qui rigolent, je n’ai pas parlé de « La vengeance du sergent à plume » !), mais aussi le dieu de la pluie et vu la température et la sécheresse ici en plein hiver, le concept tient la route.
Pour info le dieu de la pluie se nomme « Tlaloc » et si t’arrives à placer ça dans une conversation t’es vraiment puissant !
Nous grimpons sur la pyramide del Sol (65 mètres et 256 marches), pyramide de la Luna (46 mètres, et pour le nombre de marches tu peux faire une règle de trois !) et le templo del Quetzalcoatl.
Wow, mais pourquoi ils ont fait des marches aussi hautes, perso, vu la taille moyenne d’un Mexicain, j’suis pô sur qu’il n’y ait pas une histoire d’extra terrestre là-dessous, faudra que j’en cause à Mulder !
Mais une fois en haut, lorsque que tes quadriceps ont fini de te brûler et que le souffle est revenu (2300 mètres le quartier), le spectacle est vraiment sympa, tu réalises la taille de ce lieu sacré.
Tu peux contempler la chaussée des morts (sympa !), qui fait 40 à 95 mètres de large mais 2 p…. de kilomètres de long, tu peux observer les nombreuses plateformes de rituels, offrandes et autres sacrifices, car à l’époque les sacrifices humains étaient pratiqués.
Chouette visite sous un soleil qui me fait comprendre pourquoi la « Corona » a été inventée … nous sommes retournés à notre base au frais avec un grand plaisir.
Nous avons d’ailleurs retrouvé nos amis Flamands à la base, nous avons beaucoup de points commun avec nos amis belges en général, mais le plus important est « l’apéro » !
Mexicoooooooo, Mexiiiiiiiiicooooo !!!!!!
Nous ne pouvions pas rater ça, nous sommes à 40 kilomètres de cette ville fantastique.
Nous laissons le Faucon à sa base secrète et prenons les bus, afin de rejoindre cette ville, environ 9 millions de personnes vivent dans le centre et 26 millions avec la périphérie !
Mexico City figure parmi les plus grandes métropoles au monde
Nous restons 2 jours dans un hôtel du quartier historique.
Le drapeau, avec l’aigle pour l’intelligence, le serpent pour la mauvaise influence et le cactus pour la population. L’intelligence tue la mauvaise influence pour protéger les Mexicains. (n’oublie pas l’interrogation écrite à la fin !)
Comment expliquer cette expérience avec des mots et quelques photos ou vidéos…
Il n’y a pas que les vieux bâtiments à voir ici, il y a une ambiance, il y a une âme, une culture, une identité forte…
Alors le centre historique est vraiment très grand, il suffit juste de marcher, de marcher, et de marcher encore, te perdre dans des dédales de rues ou autres impasses.
Alors on enchaîne le « Templo Mayor » le site archéologique relatif à la civilisation Aztèque, la « Cathedrala Metropolitana », bâtisse incroyable qui a nécessité presque 3 siècles de travaux, la taille de ce bâtiment est impressionante, c’est la plus large et la plus vieille cathédrale d’Amérique Latine.
[ltr]Je suis encore sous le charme du son des orgues qu’elle renferme ( non je n’ai pas été à la messe !!)
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On continue avec le « Palacio National », c’est là que se situent les bureaux et appartements du président du Mexique, et le truc incroyable, tu peux le visiter gratuitement !
Nous y avons trouvé une peinture murale vraiment exceptionnelle de Diego Rivera (époux de Frida Kahlo) réalisée entre 1929 et 1935, il aura fallu 6 ans pour réaliser une peinture qui représente l’histoire Mexicaine depuis l’ère Aztèque jusqu’à l’ère dite moderne, nous sommes restés plus de 30 minutes à apprécier cet œuvre.
[ltr] La « Torre Latinoamericana », building de 183 mètres de hauteur qui surplombe la ville dénote par rapport à l’ensemble de vieux bâtiments qui l’entoure, mais offre un contraste déroutant et intéressant.
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Le « Templo San Francisco », le « Palacio de Bellas Artes » édifice absolument magnifique mais malheureusement fermé lors de notre passage.
Casa de los Azulejos, Plaza de San Domingo, Calle Emiliano Zapata et Calle de la Santisima, et sans oublier l’Avenido Francisco I Madero, le champs Elysée de Mexico City.
[ltr]Tu marches, tu marches, et tu marches encore, tu visites, tu visites et tu visites encore et tu baignes dans cette ambiance chaleureuse, bruyante, colorée, et parfois inquiétante…
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Mexico City et ses orgues de barbarie, ici tu croises de nombreux joueurs d’orgues de barbarie, cette musique est omniprésente, entêtante, parfois agaçante mais aussi enivrante, elle fait partie du folklore local.
Une légende raconte…..
Au début du siècle, des musiciens allemands étaient venus au Mexique pour jouer de l’orgue.
Les musiciens locaux inspirés par cette musique se sont amusés à transporter de petits orgues de barbarie afin de jouer dans la rue…
Peu à peu, avec l’apparition des voitures, les auditeurs se sont désintéressés de cette musique et les organistes se sont transformés en Mariachis…
Seul un musicien tout habillé de blanc continuait à jouer pour le plaisir des passants, ce musicien était aveugle et connaissait les rues de Mexico City par cœur.
Un jour, le volcan surplombant la ville de Mexico s’est réveillé, malgré ses terribles grondements il n’a craché que de la fumée.
Malheureusement cette fumée s’est engouffrée dans la ville, plus personne ne retrouvait son chemin, tout le monde se mettait à l’abri en espérant que cette terrible fumée se dissipe….
Au bout de quelques heures les gens ont entendu une musique qu’ils connaissaient, c’était le joueur d’orgues…
Très vite, tous ceux qui entendaient la musique suivaient le musicien aveugle, et comme ce dernier connaissait parfaitement la ville, il a pu diriger les gens vers les hauteurs où la fumée ne venait pas.
C’est comme cela qu’un musicien tout habillé de blanc a pu sauver des centaines de personnes de l’asphyxie.
Mais comme il avait marché dans la fumée, son beau costume blanc était devenu gris !
Et c’est depuis ce jour que les joueurs d’orgues de barbarie portent tous un costume gris afin de rendre hommage au musicien aveugle.
Et c’est depuis que les touristes les écoutent et que les joueurs d’orgues de barbarie se multiplient !
C’est fini, tu peux ranger tes Kleenex, on continue la visite !
Comment t’expliquer le brouhaha permanent ici, entre les orgues de barbarie, les véhicules, les klaxons, les vendeurs à la criée, les spectacles de rue en musique, les tiendas avec leurs rabatteurs, les enceintes qui crachent des décibels sur fond de Mariachis , wow, mais wow quoi, c’est certainement le lieu le plus bruyant que je n’ai jamais visité.
La nuit tombe sur la mégapole, et le changement est impressionnant, inquiétant et fascinant, des centaines des vendeurs ambulants installent leurs stands à même le sol en dépliant d’énormes sacs constitués avec des bâches, les stands de street-food construits sur des chariots à roulettes font leur apparition, les tripes et autres morceaux de porcs sont découpés et hachés au hachoir puis cuits devant toi, l’obscurité fait aussi apparaître des gens qui vivaient cachés pendant la journée, ceux qui vivent à même le trottoir dans la rue, ils reprennent possession de leur territoire, la misère est visible et pas facile à gérer parfois car un sentiment de malaise t’envahit même si tu n’es pas responsable, et puis de toute façon tu es totalement impuissant devant ce mal qui ronge le monde…..
Les patrouilles de police lourdement armées sont légion dans le quartier où nous traînons, mais par pour trop longtemps, nous préférons rejoindre le quartier historique, plus peuplé, et certainement plus sécurisant pour une famille même si nous n’avons pas été importunés, ton sixième sens de voyageur est toujours là pour te guider.
Quelle soirée sympa à déguster une pizza et une Corona fraîche (les Croods Trotters assument parfaitement leur choix culinaire entre les différents morceaux de chair que nous avons vu griller (beurk!) et une pizza pepperoni!). Nous sommes installés dans une rue piétonne et mangeons en compagnie de Fredrick et Katleen et leurs enfants Elias et Noah, nos amis Flamands au son des chanteurs de Mariachis…
Le retour de nuit se fera en flânant dans un quartier populaire où les tags en disent parfois beaucoup sur l’histoire et les problèmes d’un pays !!!
Es-tu un fan de Luchador, connais-tu la « Lucha Libre » ?
La « Lucha Libre », littéralement « lutte libre » est le catch Mexicain, et le Luchador c’est le combattant.
Nous ne pouvions pas quitter Mexico City sans aller voir un combat de « Lucha Libre », à l’Arena Mexico…., the « Cathedral of Lucha Libre », connue pour être la plus grande salle de spectacle de ce sport, ce temple du combat tient debout depuis 1956 et peut accueillir plus de 17500 spectateurs.
On dit que la « Lucha Libre » a été introduite au Mexique durant l’occupation française (il faut absolument que je pense à retirer mes drapeaux bleu/blanc/rouge du Faucon !!!), en effet durant l’invasion de l’armée française au Mexique (1864 à 1867) des démonstrations de lutte olympique et gréco-romaine avaient lieu.
A l’époque ce sport a beaucoup plu aux Mexicains.
Au fil des années, différents acteurs du monde du sport ont fait venir des champions de divers endroits du monde faisant monter l’engouement pour ce sport.
En 1933 Don Salvador Lutteroth Gonzalez créa la Empresa Mexicana de Lucha Libre, devenu depuis le Consejo Mundial de Lucha Libre (CMLL), c’est actuellement la plus vieille fédération de catch existante.
Depuis ce sport fait partie intégrante de la culture populaire Mexicaine.
Yeeeehhhhhhhhhaaaaa il y a des combats dimanche après midi, Go, Go, Go…..
Selon les vieilles traditions, la plupart des luchadors portent un masque qui représente un peu leur vie.
Le côté aérien est spectaculaire, les enchaînements de prises se succèdent pour le plus grand plaisir des spectateurs, Headscissors Takedown, Hurricanrana, Missile Dropkick, etc…. les combats se passent aussi à l’extérieur du ring avec le Moonsault ou Suicide Dive…
Incroyable de voir la souplesse, la coordination et la force de ces mastodontes cagoulés et habillés comme les « Avengers », ou des « Power Rangers » !
Quelle fantastique spectacle nous ont offert ces sportifs, spectacle effectivement car il s’agit d’un mélange de show et de combats.
Les grincheux te diront, c’est juste des gros en costumes moulants qui font du chiqué !
OK, man, alors je te propose de monter avec eux sur le ring !
Franch’ment quand tu vois des mecs de plus de 150kg monter sur la troisième corde du ring et te sauter dessus, ou lorsque tu te fais expédier par dessus le ring et que tu atterris 2 mètres plus bas sur le dos…, sans compter les claques sur la poitrine qui résonnent fortement dans une salle de plus de 17 000 personnes, c’est sans moi mon pote!
Les combats sont rapides mais moins violents que ceux du catch Américain.
A noter que nous avons cru reconnaître « La Denrée » habillée avec sa magnifique tenue jaune et rouge, mais il combattait sous le surnom de « Volcano » (jette un œil sur la vidéo) !
Le côté vraiment sympa est l’introduction des « Luchadors» haute en couleur et en musique, perchés sur les cordes du ring, ils haranguent la foule et envoient des baisers aux fans.
Le second truc sympa est le fait qu’il existe des gentils et des méchants, alors triche, mauvais coups, et provocations font parti du show et les spectateurs en raffolent et en redemandent.
Ces spectateurs, sans qui la Lucha Libre ne serait pas ce qu’elle est…, trompettes, crécelles, hurlements, prises de positions farouches pour leur Luchador favori, l’ambiance est torride.
Et nous les Croods Trotters, sommes « chauds comme un camion à churros », nous passons aussi plus de 2 heures à encourager nos Luchadors préférés, à grimacer lors des coups violents ou des chutes impressionnantes, à huer lors des tricheries, et à rire lors des pitreries…
Franch’ment ce spectacle c’est Croods Trotters approved, nous avons vraiment adoré.
Désolé pour la qualité des photos mais c’est juste pour que vous ayez une petite idée du spectacle :
Nous essaierons de renouveler cette expérience même si nous savons que l’ambiance ne sera peut-être pas aussi explosive et fantastique que dans « El Cathedral de la Lucha Libre ».
Nous sortons de ce temple, la nuit est tombée, le quartier n’est pas spécialement rigolo, alors nous traversons vite ce lieu un peu sordide (ça sent la peur, ça pu la mort, j’aime bien c’t’ambiance…, pas vous? Ha bon !), et nous rejoignons rapidement notre chambre d’hôtel, nous nous endormons en rêvant d’être un Luchador habillé d’habits de lumière, portant une masque superbe et volant au dessus du ring vers de nouvelle victoires…..
INTERROGATION SURPRISE !
1/ Quelle est la hauteur moyenne d’une marche de la pyramide del Sol à Téotihuacan ?
2/ Cite-moi une prise de lucha libre.
3/ Cite-moi 2 tribus précolombiennes du Mexique.
4/ Pourquoi la tenue des joueurs d’orgues de Mexico est-elle grise ?
5/ Quels sont les trois éléments du drapeau mexicain ?
Tu as 10 minutes !
Et voili, voilou, un dernière nuit dans notre bruyant hôtel de centre ville et nous reprenons le bus afin de retrouver le Faucon Millenium qui trépigne d’impatience pour en découdre avec le goudron… et les topes !
Le temps passe et nous avons encore beaucoup de chose à voir dans ce grand pays.
Alors on fait chauffer le 6 en ligne, on enclenche la première et Gaaaazzzzzzz…. !!
Allez une p’tite ballade au cœur du lieu où naissent les dieux, dans les rues de Mexico City, et sur le ring de la cathédrale de la Lucha Libre….(désolé pour la qualité des scènes de Lucha Libre mais les appareils photos étaient interdits et filmer avec la GoPro ou le téléphone en salle sombre c’est pas terrible) :
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